Épisode 43
Le zettelkasten ou la gestion de la connaissance

Romain présente à Geoffrey et Emma cet outil de PKM (Personal Knowledge Management) qui permet de stocker les informations pertinentes pour pouvoir les manipuler et les croiser par la suite.
Ressources
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À propos de cet épisode
Ou comment faire pour enfin accéder régulièrement aux informations qui nous intéressent ou nous ont intéressées… et s’en servir pour générer de nouvelles compréhensions !
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Continuer la discussion ici : forum.productifetserein.com
94 plus réponses
Bon, on parle de GTD et tout ça, c’est bien sympa, bosser mieux, ouais ouais, mais honnêtement, la question la plus importante de ce forum est immédiatement devenue la suivante :
Horde ou Alliance, Romain ?
NAN MAIS
Okay, on a trouvé celui qu’on fait sortir
Tiens, clique ce lien volontairement réduit. https://shrtm.nu/Ub8J
Et je te confirme qu’Obsidian est au contraire ultra intuitif une fois qu’on l’a pris en main.
Okay, donc oui, totalement. Obsidian est taillé pour le PKM (Personal Knowledge Management) qui est la version avancée des références type GTD. De la façon qu’il y a tout un versant de gestion de productivité né de GTD, il y a tout un territoire de gestion de la connaissance qui n’est quasiment pas abordé dans GTD.
Pour voir le résultat final, ben… le premier article explique la productivité de Niklas Luhmann.
C’est l’idée. L’atomicité, la connectivité et la formulation personnelle sont les trois aspects les plus importants du système. Pour les références, il faut vraiment voir ce dont tu as besoin. Je crois que seuls les universitaires ont vraiment besoin d’une rigueur maladive là-dessus (noter page, année de publication…) Cela dépend de tes besoins mais je trouve que c’est l’arbre qui cache la forêt. (Les gars de Zettelkasten.de sont des chercheurs)
Par contre, ce qui est vraiment important :
Un exemple personnel qui date d’hier : j’ai relié le principe scientifique « l’absence de preuve n’est pas la preuve d’une absence » au principe narratif « l’absence d’une information ne marque pas explicitement l’ignorance d’un personnage ».
La structure de mes notes dépend complètement des besoins de celle-ci. Parfois il y a des sources, parfois non. Je n’ai aucune structure a priori, comme ça je reste libre, le seul impératif, c’est l’atomicité.
MOCs et indexes remplissent des rôles semblables mais sont très différents :
Je préfère largement la fluidité et l’aspect non-contraignant des MOCs aux indexes / structure notes. Je fais les premières dans tous les sens, jamais les secondes.
Je te mets un exemple de fiche sempervirente (evergreen note / zettel) comme l’a fait @Romain (avec les liens vers d’autres fiches) – tu remarqueras que je me note que c’est un sujet à creuser, mais je suis suffisamment content de la fiche en l’état :